Opinion : L’école

"Mes chers lecteurs, je vous demande de m’excusez quant au fond, et à la forme des mes exposés. La langue de Molière, je ne la maitrise pas, je l’avoue. Cependant, je me débrouille, à l’aide de cette culture de communiquer aux autres ce que je pense.

L’école, publique, privée, spirituelle, est prestigieuse, d’une valeur très respectée. C’est le domaine du savoir sacré. C’est là ou se forment, et se préparent nos générations pour une vie décente. C’est le fondement même de notre développement socioéconomique. Plusieurs études, des recherches, ont abouti à définir son rôle. 

Les établissements scolaires sont régis pour être adaptés aux rôles qui est le sien. Je ne suis pas un expert de talent, un praticien certes de profession qui a une large expérience.

Le fonctionnement de cette institution, requiert des conditions. Un personnel qualifié, diplômé des établissements de la profession. Un suivi régulier, rigoureux de l’exercice du métier par des directions, des inspections dont les appréciations et notes sont versées dans les dossiers des intéressés. Des programmes conçus pour répondre aux exigences de l’éducation, des facultés intellectuelles et physiques (une âme saine dans un corps sain). Des manuelles choisis pour cette action. La méthode veut que les répartitions des programmes soit adapté à chaque niveau de cours ou en d’autres termes les classes. Les emplois de temps mensuels, trimestriels, et pour l’année scolaire doivent faire l’objet d’affiche.

Les infrastructures, classes, matériels doivent répondre à certaines exigences. Le nombre d’élèves par cours ne peut dépasser un certain nombre que le maitre peut maitriser. L’enseignement de qualité prend le déçus sur l’enseignement de quantité. Celui-ci entraine obligatoirement des cadres au rabais qui font plus de mal que de bien. Résorber le problème du chômage relève d’une politique de planification de tous les secteurs de la vie nationale. Je m’excuse en passant.

Les établissements scolaires et les parents d’élèves sont tenus de cordonner leurs actions. La liste est très longue.

Pour un redressement du secteur, il faut obligatoirement à un mon simple avis, une commission permanente des hommes de la profession relevant des ministères concernés. Son fonctionnement doit être régis par une législation et des textes réglementaires.

Qui sait de quoi.

Un vieil adage de notre milieu disait, je traduis, « si celui qui parle est un fou, celui qui écoute doit être intelligent et lucide ».

 

Monsieur Cheikh Ould Ismail 

Tél :46711753 / 22039799 / 32006685

Nouakchott, le 16 Décembre 2019

jeu, 09/01/2020 - 19:21

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