Au Burkina Faso, la justice a ouvert une enquête après la diffusion de messages incitant à la haine et appelant à l’extermination des Peuls sur les réseaux sociaux.
Des militants islamistes ont tué au moins 44 civils et grièvement blessé 13 autres lors d'une attaque contre une mosquée dans le sud-ouest du Niger hier, le 21 mars. C'est ce qu'a annoncé le ministère de la Défense nationale.
La Mauritanie a exprimé sa solidarité avec la République sœur de Somalie face à la lâche tentative d’assassinat du président somalien Hassan Cheikh Mahmoud.
Nouakchott a également condamné "tous les actes terroristes qui portent atteinte à la sécurité et à la stabilité de la Somalie".
Ce qui au départ était une intention, a été confirmé en seulement 24 h par les 3 pays qui forment la Confédération Alliance des Etats du Sahel plus connu sous l'acronyme, AES.
Près de 11 personnes ont été tuées et plus de 20 autres blessées dimanche soir dans une attaque, visant un marché populaire hebdomadaire au Mali, près de la frontière avec la Mauritanie.
L’ONG Human Rights Watch a appelé, avant-hier, la junte au pouvoir au Burkina Faso à «enquêter» sur les massacres de civils, en début de semaine, par des hommes accusés d’appartenir aux forces de sécurité. Des exactions qualifiées de «manipulation» par les autorités.
Selon le media américain The New York Times, un projet circulant au sein de l’administration énumère trois catégories de pays dont les citoyens pourraient être soumis à des restrictions d’entrée aux États-Unis.
La junte militaire au pouvoir au Niger a expulsé les dirigeants des principales compagnies pétrolières chinoises et révoqué définitivement la licence de l'hôtel international Soluxe construit par Pékin, considéré comme un symbole de la coopération sino-nigériane.
La Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a approuvé l'activation d'une force de réserve pour lutter contre le terrorisme et les défis sécuritaires communs dans la région.
Le Président de la République, M. Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, a adressé un message écrit à S.E. le Président de la République du Congo, M. Denis Sassou Nguesso.